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| Fuir, action vitale - SloanҨNaït | |
| Auteur | Message |
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◭ SOS : 248
◭ District : District 12 - Le charbon
◭ Arrivée à Panem : 26/04/2012
◭ Double compte : Loucian Caldin
◭ Localisation : Quelque part au Capitole
| Sujet: Fuir, action vitale - SloanҨNaït Dim 6 Mai - 18:13 | |
| Naït Ҩ Sloan « La vaste nuit allume toutes les étoiles. » "Habitants de panem ! je vous remercie de la confiance que vous saurez me témoigner en ce qui concerne la prospérité et la sécurité de notre patrie. Comme vous l’avez remarqué par le passé, la productivité a diminué, les districts préférant mettre en avant leur propre bien-être avant celui du reste de la population. nous sommes désorganisés, nous avons de la difficulté à atteindre nos objectifs. Nous devons changer les statistiques et revenir à notre grandeur d’antan. je me souviens d’une époque où il n’y avait aucun problème. nous avancions, main dans la main avec un juste prix à payer pour un monde meilleur. C’est pourquoi, après de longues interrogations, le capitole a voté unanimement pour un retour aux sources. Mes amis, je vous annonce officiellement le retour des Hunger Games !"Je regarde l’écran estomaqué. Non, ce n’est pas possible. Je me retourne vers mon père qui me sourit. C’est comme si il l’avait toujours su, comme si il avait prié tous les soirs afin que les jeux fassent leurs retour. Et alors que je regarde tous les parents serrer fort leurs enfants, mon père ne fait rien, enfin si, il pose une main sur mon épaule et me sourit, comme si j’avais enfin le pouvoir de le rendre fier de moi. Je sais que si leurs enfants partent pour les jeux, ils les pleureront en espérant leurs retours et feront tout pour récolter des sous, pour avoir des sponsors. moi, je n’aurais rien… - Tu dois mériter ta victoire Naït. j’ai tout fait pour que gagne ces jeux.- Et si jamais je suis sur le point de mourir, tu ne m’enverras aucun parachute ?- Non.La réponse fut rapide, sans hésitation ni aucune once de tristesse. - Pourquoi ?Je suis déçu d’entendre ma voix flancher. - Parce que ça voudras dire que tu ne mérites pas de vivre.Voilà, tout est dit. C’est ainsi que le soir je décide de tout quitter, de fuir et de ne jamais revenir. De fuir la douleur et la haine que m’inflige mon père tous les jours, de fuir l’horreur et ces Jeux qui font leurs grands retours. Le Capitole dois vraiment avoir peur de quelque chose pour imposer ces jeux de nouveau, pour redire aux districts "nous ramenons l’horreur et vous n’y pouvez rien, nous allons laisser vos enfants s’entretuer et vous n’y pouvez rien. Nous sommes les plus puissant, et vous n’y pouvez rien."Il doit vraiment y avoir une grande menace pour que le Capitole ait besoin de cela. J’avais attendu la nuit pour partir. J’avais pris seulement un sac fin avec quelque T-shirt, un pantalon, des sous-vêtements. Mais j’avais surtout pris beaucoup de feuille, de cahier et des stylos car je ne pourrais me passer d’écriture. Maintenant, cela doit faire une semaine que je suis partie, peut-être plus, peut-être moins, et je me rends compte que mon entrainement est bénéfique au final. J’arrive à chasser, dormir à la belle étoile ne me pose aucun problème, au contraire. Je crois que je ne me suis jamais senti aussi libre. Au final, je dors plus le jour que la nuit, trop fasciné par les étoiles. Comme à mon habitude, c’est surtout dans ces moments-là que j’écris. Mon carnet se remplit de jour en jour et j’avance sans trop savoir ou je vais. Je suis passé près du onze, mais j’ai préféré resté dans la forêt et ne pas m’aventurer dans les rues de ce district pourtant fort intéressant. Deux semaines… Peut-être plus, peut-être moins. Je ne sais pas vraiment où je me trouve, dans la forêt, ça c’est sûre. D’après le soleil, il doit être aux environs de deux heures de l’après-midi. Je respire un grand coup et une nouvelle odeur m’assaille. Ça me pique le nez, et je n’ai jamais eu l’occasion de sentir cela. En plus de l’odeur, c’est un bruit qui m’appelle, qui me hurle de venir. C’est en courant que je sors de la forêt et que je me retrouve devant le plus beau spectacle de toute ma vie. L’océan. C’est l’océan qui me fait fasse. Sans une once d’hésitation, je cours tel un enfant vers cette nouvelle découverte. Une fois sur la plage, je me moque du temps qu’il fait, je me moque de la température, je me déshabille et me retrouve en deux temps trois mouvements en boxer dans l’eau. Brrrr elle était froide, mais je m’en moquais. C’est vraiment autre chose que de prendre un bain. Je passe ainsi toute l’après-midi dans l’eau, à me laisser porter par les vagues tout en regardant le ciel plutôt clément. Je sors de l’eau et me laisse sécher et pour la première fois de ma vie, je me laisse bronzer aussi. Aux environs de six heures, je me lève, me rhabille et commence une petite expédition dans le district aux alentours. Rien que l’océan me fait penser que je suis dans le district 4. Ainsi j’ai marché beaucoup plus loin que ce que je pensais. Je marche dans les rues presque vide, admirant ainsi ce district beaucoup plus luxueux que le 12, il n’y a même pas à comparer. J’observe les fontaines magnifique, la place qui baigne au soleil et soudain, une petite affiche attire mon attention… Bon sang mais c’est mon visage qui est là-dessus… Je me touche le visage, sans la barbe et me dis que cela est peut être une bonne chose que je ne me sois pas rasé. Il est vrai que comparé à cette photo, je suis maintenant dans un état lamentable.
| Avis de recherche,
A tout ceux qui verrons ce jeune homme du district 12, Naït Delano, veuillez le signaler à un Pacificateur avant d’agir. Une forte récompense seras donnez à ceux qui le retrouve…
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A peine ai-je finis de lire qu’un groupe de pacificateur tourne dans la rue. - Merde…Je cours me cacher derrière un arbre… Je sais pas comment je vais me sortir de cette impasse.
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| | | Sloane-K. Oackley ADMIN - Burn out
◭ Age du joueur : 34
◭ SOS : 727
◭ District : District 4; l'eau & la pêche.
◭ Arrivée à Panem : 29/03/2012
| Sujet: Re: Fuir, action vitale - SloanҨNaït Jeu 10 Mai - 1:28 | |
| Depuis la mort de Riley, ma vie était devenue un véritable enfer. Je peinais à mettre un pied devant l’autre, à tout simplement me lever le matin pour effectuer mes tâches quotidiennes. Après mes parents, lorsque j’étais enfant, je perdais mon petit ami, avec qui je sortais depuis plus d’un an. C’était difficile, parce qu’avant d’être mon copain, c’était un de mes meilleurs amis, une partie de moi. Il avait subit le même drame lorsqu’il était jeune, puisque nous avions perdu nos parents sur le même accident de bateau. Tomber sur son corps ensanglanté était un horrible souvenir et je craignais ne pas avoir la possibilité d’oublier cette image avant des années, si ce n’était pas jamais. La mort de Riley était étrange, tombant la même journée que le nouveau Président annonçait le retour des Hunger Games. Il avait beau être sortit d’affaire, ayant vingt ans, mais il s’inquiétait pour moi. Il était terrifié à l’idée que je sois pigée à la Moisson et que j’en revienne traumatisée, ou bien que je ne revienne tout simplement pas. Quelque chose, peut-être la paranoïa, me soufflait à l’oreille que les Pacificateurs avaient un rapport avec sa mort. Probablement avait-il ouvert sa grande gueule, comme il savait si bien le faire, et c’était attiré les foudres des représentants du Capitole. Quoi qu’il en soit, il m’avait quitté pour toujours, et mon cœur se brisait à chaque fois que j’y pensais de nouveau. La mort de Riley n’était toutefois pas la seule tragédie qui hantait le cœur des habitants du District 4. Madame Kennedy, la mère de mon amour de jeunesse, Thybalt, avait elle aussi perdue la vie. Une autre mort difficile à digérer, dans mon cas, puisque je l’avais connue dans le passé. Je ne l’avais pas vu depuis un long moment, mais sa mort m’affectait quand même. Je ne pouvais que penser à sa famille, qui devait être détruite. De plus, son fils Thybalt me manquait terriblement. Je n’avais pas eu la chance de le revoir depuis la mort de sa mère et celle de Riley, mais j’aurais bien besoin de son réconfort. Et j’étais certaine que ma présence lui ferait du bien, à lui aussi. En tournant un coin, j’arrivais face à face avec un babillard, où était installé la photo d’un jeune disparu, un certain Naït Delano. Ce n’était pas la première fois que je voyais la photographie, mais chaque fois, j’arrêtais devant pour le regarder. Je m’égarais souvent dans mes pensées, ne comprenant toujours pas pourquoi il était recherché. Avant, nous avions la possibilité de se promener de district en district sans problème. Depuis l’annonce du retour des Jeux, il était de plus en plus difficile de vivre à notre guise. C’était comme un piège qui se refermait tranquillement sur nous, ne nous laissant aucun échappatoire. Ça me blessait de penser que bientôt, nous serions confinés dans nos districts, sans aucune possibilité de rendre visite à nos amis d’ailleurs. Beaucoup de mes amis allaient me manquer. Du coin de l’œil, j’aperçu un mouvement rapide et ma tête se tourna brusquement dans cette direction. Je n’avais pas halluciné, il y avait bien quelqu’un qui avait prit refuge dans l’allée. Mon regard glissa curieusement vers le bout de la rue, pour s’arrêter sur quelque Pacificateurs qui avançaient rapidement dans cette direction. Ils n’avaient pas encore regardés par ici et c’est pourquoi je me dépêchais de m’engouffrer dans l’allée à mon tour, m’installant devant l’inconnu qui se cachait devant les Pacificateurs. Inconsciemment, j’avais deviné que l’étranger souhaitait échapper aux Pacificateurs et les ayant au travers de la gorge depuis la mort de Riley, j’allais l’aider à s’échapper. J’étais bonne observatrice, et je savais analysé et mettre des pièces de puzzle en place sans trop de difficulté, ce qui avait toujours était un bon atout. Alors que je pris la peine de regarder enfin le visage du jeune homme qui me faisait face, je réalisais avec surprise que c’était lui, sur les brochures installées partout en ville. Il ne voulait pas être retrouvé, mais il se trouvait dans une impasse. N’ayant pas beaucoup d’options, je m’avançais vers lui, lui remonta sa capuche sur la tête et approchait mon visage de son oreille, tout en entourant mes bras autour de son cou. J’espérais qu’il allait être trop surpris pour réagir, me laissant le temps de lui parler. ▬ Je vais me mettre à pleurer, et tu vas me consoler. Je suis Sloane, donc t’as qu’à dire ce qui te passe par la tête avec mon prénom. Fais-moi confiance, ils ne s’arrêteront pas, lui chuchotais-je rapidement. Ensuite, je me mis à penser à mes parents, à Riley, à la peine que je refoulais depuis deux semaines, depuis qu’il était mort. Je me forçais à me souvenir à quel point je l’aimais, et à quel point je me sentais vide sans lui. Je l’imaginais au ciel, rejoindre ses parents et les miens. Les larmes, enfin libérées, coulèrent librement sur mes joues. J’espérais que ce Naït embarquerait dans mon petit plan, puisque j’étais là pour l’aider. Sinon, j’aurais qu’à dire que je l’avais prise pour quelqu’un d’autre. |
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◭ SOS : 248
◭ District : District 12 - Le charbon
◭ Arrivée à Panem : 26/04/2012
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◭ Localisation : Quelque part au Capitole
| Sujet: Re: Fuir, action vitale - SloanҨNaït Ven 11 Mai - 1:42 | |
| Naït Ҩ Sloan « La vaste nuit allume toutes les étoiles. » Fuir était devenue essentiel. Je ne suis pas ici pour voyager, même si franchement, ce district vaut le détour. J'avais besoin d'un long break avec le district 12, avec les Delano et toute la misère qu'ils m'apportent. J'avais besoin d'oublier ce que le Capitole allait bientôt nous faire subir. Cette escapade me fait un bien fou, je crois qu'au fond je ne suis pas totalement fait pour la solitude. Cela marche par période en fait, et cette période et propice à un état solitaire. Je ne souffre pas encore du mal du pays, même si je sais qu'il va arriver, d'un jour à l'autre. Je profite cependant pleinement de cet état où je ne regrette rien pour le moment. Vivre dans la nature ne fut pas vraiment un problème pour moi, chasser, me laver dans les rivières, dormir à la belle étoile ne me gêne en rien. Avec l'entrainement que j'ai toujours subit, cela me semblait telle une promenade de santé. Finalement, ce n'est pas dans la forêt que je suis en danger, mais vraiment dans les districts, et je pense que cela est vrai pour tout le monde, les personnes entre 12 et 18 ans plus particulièrement avec le retour des Hunger Games. Bon sang, le danger est vraiment partout. Je crois bien qu'au final nous n'avons jamais connu un jour la paix, la véritable paix... Alors que je me balade, alors que je pense être tranquille dans ce district, je ne suis assez perplexe et je n'aurais jamais deviné que mon père lancerais une recherche... Franchement, comme s'il pouvait se soucier de moi alors que dans l'arène si je suis sur le point de mourir il ne lèveras même pas le petit doigt. Cela me dégoûte encore plus de penser qu'il tente de faire comme tout véritable père. Au fond, je suis sûre que c'est plutôt ma mère qui a voulu lancer les recherches, et lui se serait opposé, pensant que ce serait inutile. Ma mère, même si elle est pour le Capitole, ne se rend pas vraiment compte des choses. Elle est douce, attentionnée et plutôt naïve. C'est cette naïveté qui fait d'elle une proie facile du Capitole. Encore heureux elle a un instinct maternel fort et bon qui me permet d'avoir un minimum d'amour chez moi. Et me voilà, plutôt sale, la barbe longue et je dois l'avouer, je n'aime pas du tout cela. Je pense que j'aurais besoin de me couper les cheveux aussi, mais avec quoi... Mon couteau certes, mais je ne donne même pas cher de ma futur coupe de cheveux. Enfin qui sait, je lancerais peut être une nouvelle mode au Capitole. Ils sont tellement bizarre, extravaguant... Oui, ca pourrait vraiment leur plaire ce côté artisanal... Les Pacificateurs s'approchent trop vite, et franchement, se cacher derrière un arbre est la façon la plus indiscrète de dire "Hé ! Regarder moi je suis là, je n'ai pas du tout l'air suspect derrière mon arbre..." Rapidement et le plus discrètement possible, je sors de ma cachette pour me retrouver dans une allée... Mince, sans issue, mais vraiment je suis un abrutit de première qui sais me mettre dans le pétrin ! Mais qu'est ce que je vais faire ? Je regarde paniqué tout autours de moi, et les pas des Pacificateurs qui s’amplifient à chaque secondes... Alors que je commence réellement à désespéré, à me dire que je suis bon pour retourner au district 12 alors que je ne suis vraiment pas prêt, pas encore, pas maintenant..., une fille s'approche de moi plus sûre que jamais. Je suis persuadé qu'elle va hurler, qu'elle va vouloir la récompense... Après tout, je ne doute pas que la sommes doit être... Très généreuse. J'appuis mon dos contre le mur, puis ma tête et ferme les yeux, s'en ait finis... Je tente de respirer calmement et rien ne viens... Non, elle ne cris, elle ne cours pas chercher les Pacificateurs, elle s'avance toujours vers moi. Je rouvre les yeux, juste à temps pour la voir remonter ma capuche et s'approcher encore plus de moi. Elle passe son bras autours de mon coup et me souffle dans l'oreille : - Je vais me mettre à pleurer, et tu vas me consoler. Je suis Sloane, donc t’as qu’à dire ce qui te passe par la tête avec mon prénom. Fais-moi confiance, ils ne s’arrêteront pas. Je reste immobile, ne comprenant toujours pas. Son contact me perturbe assez, je n'ai pas l'habitude de ce genre de contact je dois l'avouer. Cependant, une fois la surprise passé, le pas des Pacificateurs me ramènent à la réalité. Je passe mes bras autours d'elle, la serrant un peu plus contre moi, et avant que les Pacificateurs ne débarquent, je lui souffle : - Enchanté Sloane, je m’appelle Naït... Enfin tu dois le savoir... Car je suis sûr qu'elle m'a reconnu et pour une raison que j'ignore, elle souhaite que je ne me fasse pas prendre par les Pacificateurs. Soudain, elle semble se libérer et se met à pleurer de façon plus que convainquente. Étrangement, je sens que ces larmes ne sont pas totalement de la comédie, elle a du vivre beaucoup de chose, beaucoup d'horreur pour pleurer ainsi face à moi... Même si c'est pour me sauver, il n'est jamais facile de pleurer devant un inconnu. Je lui caresse doucement les cheveux, comme je le ferais avec n'importe qui afin de la rassurer. - Tout va bien se passer... Je te le promet Sloane, ce n'est qu'une passade... Je ne te dis pas que cela seras facile mais tout iras bien. Les Pacificateurs sont là, et inconsciemment j'approche encore plus mon visage du sien jusqu'à ce qu'il soit cacher par ces cheveux. Je sens leurs présences, je sens leurs regard sur nous... Cela semble durer une éternité... - Je suis là, tu n'as plus à pleurer Slo... Je ne peut rien te garantir, mais je suis là... ...Et après ce long moment, j'entends leur pas s'éloigner. Je reste encore un peu sous ma cachette, tentant de la consoler car même si je ne la connais pas, je sens qu'elle en a besoin. Je me recule et la regarde droit dans les yeux. Ma main se pose doucement sur sa joue afin de lui essuyer ces larmes. - Je sais que je suis dans un sale état mais je ne pensais pas à ce point. Je lâche un petit rire. Je ne sais pas vraiment si ma petite tentative d'humour marche mais il n'empêche que cette fille viens de me sauver la vie sans même me connaitre. - Ce mot va sembler bien faible comparé à ce que je ressens, mais il n'y en a pas d'autre..., Merci. Je lui souris, pensant sincèrement ce que je dis. - Je ne sais vraiment pas pourquoi tu as fait cela, mais tu es réellement bien tombée. J'ai bien envie de partir, mais en même temps, je ne suis pas sûr que planter cette fille serais vraiment recommandable. Je reste donc là, avec elle, la tenant encore à moitié dans mes bras, voulant la remercier pour ce qu'elle venait de faire. Même dans ce temps de terreur et d'horreur, il y a quand même des personnes pour s'aider les uns les autres, des personnes qui osent défier l'autorité. Oui, le Capitole fait bien d'avoir peur de ce genre de personne...
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| Sujet: Re: Fuir, action vitale - SloanҨNaït | |
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| | | | Fuir, action vitale - SloanҨNaït | |
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