| Sujet: arma&milan - une blonde en colère, c'est comme les feux d'artifices. Ven 8 Juin - 1:15 | |
| Je brossais ma longue chevelure blonde dans le miroir ce matin, elle était vraiment très jolie, je m'en occupais vraiment avec soins, c'était l'une de mes fiertés. Enfin, je suis jolie de toute façon, mais sans mes cheveux, ce ne serait pas la même chose c'est certain. Bref, ce matin j'allais monté Schlague, un étalon qui devait un peu se dégourdir les jambes, puisqu'il avait pleut toute la journée de hier. J'ai alors mis un short en jeans, court qui m'arrivais en haut des cuisses. Un petit pull marron beige, et des bottes de cowboy. J'ai passé un léger trait de crayon sur mes yeux, un peu de rouge à lèvre rougeâtre, et hop j'ai pris une pomme que j'ai croquer à pleine bouche. En sortant, le sol était encore un peu boueux. J'ai remarquer d'ailleurs, parce que j'ai marcher jusqu'à la grange, et heureusement que j'ai mis mes bottines je crois. Bref, j'ai pris le cheval, et je l'ai accessoirisés, comme il le fallait. J'ai ouvert la porte de la grange. J'ai sifflé l'étalon pour qu'il me rejoignent. D'ailleurs au galop, j'ai eu de la chance d'attrapé la lance pour monté sur la selle. J'ai galoper toute la mâtiné, près des rivières, dans les hautes colline. On arrivait même à voir un bout du Capitole depuis la plus grande prairie. Je suis rentré, parce qu'un nuage noir à menacé le district de pisser dessus. J'ai glisse en descendant de mon cheval, j'avais de la terre partout sur les jambes. J'ai souffler, j'ai brossé Schlague et je lui ai donner à manger. Je suis partis. Lorsque j'enlevais de la bout de mes jambes, j'ai entendu des bruits à l'arrière de ma maison. Je me suis redresser, j'ai longé la paroi, et c'est là que j'ai vu un homme. Un cambrioleur. Et même si il n'en était pas, ça lui apprendra d'entrer dans le terrain privé. Je suis arrivé par derrière, avec un bâton de bois, je l'ai frapper en bas du dos. C'est un terrain privé, il va falloir réviser ses plans. Il n'y à pas un chien de garder, mais une blonde. J'ai retourner le garçon, en plaquant mon bâton à la verticale sous sou cou, pour l'empêcher légèrement de respirer. Pas le tuer, mais assez pour bien lui flanquer la trouille. |
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