La journée t’en attendu était enfin arrivé. Le jour de la Moisson, le rêve d’une vie. J’avais été entrainé pour ça et j’allais en profiter. Si je n’étais pas tirer, je me porterais volontaire, voilà toi. Mais je devais y aller, j’en étais obliger. De plus peu d’enfants suivaient l’entrainement que j’ai eu le droit. Au début mon père était mon entraineur, j’adorais ça, mais quand j’ai décidé d’aller vivre avec mon grand-frère il a cru que je ne voulais plus le voir. Ce n’était pas lui que je ne voulais pas voir, mais ma mère, cette sorcière sans cervelle. Donc après ça, il a demandé que quelqu’un d’autre s’occupe de moi. Avec chance, cette personne je m’entends bien avec elle. Lors de notre dernier entrainement il m’a murmuré « Heaven, tu dois y aller, le Un a toute ses chances avec toi. Tu es l’élève la plus douée du Un donc vas-y. Bien sur ce choix te revient à toi. Donc fait le bon. » J’allais suivre son conseil. Après tout, je ne tenais pas à la vie tant que ça.

J’enfilai mes plus beaux habits pour cette occasion. Mon habit était tout simple, mais je n’avais pas l’habitude de porter se genre de vêtement. Je me rappelle le jour où ma grand-mère me l’a donné. Elle n’avait eu que des fils, et elle était bien contente que je sois une fille. Elle l’a retouché pendant des heures avant de me l’a remettre. Je la revois encore pleurer de joie en me l’a remettant. J’étais toute jeune et je flottais dans ma robe. Je me souviens qu’elle m’adit : « Un jour cette robe t’ira à merveille. Tu l’as portera pour une occasion unique. Prends-en soin. » C’est ce que j’avais fait. Je tenais beaucoup au dernier souvenir qu’elle m’a fait avant de mourir. Je l’enfilai donc et sortis de ma chambre. J’avais fait la grâce matinée et il était bientôt l’heure d’aller à la moisson. De plus, mon frère était l'un des entraineursles plus expérimentée du centre d'entrainement. J’étais contente que ce soit lui au lieu d’un autre pour me soutenir du regard pendant tout ce temps. Je précise ça, car ce n’est pas lui qui va venir me porter à la moisson, mais sa femme et ma nièce. Je n’étais trop enjoué à cette idée, mais j’allais faire avec. Quand elle me vit son souffre se coupa. Elle me dit immédiatement : « Tu es superbe Heaven. Ouah cette robe te va très bien. » Je ne lui répondis pas. Elle regarda l’heure et annonça que nous devions partir. Super, mon cœur battait de plus en plus vite, le chemin n’était pas trop long, mais pour moi c’était comme une éternité.

Je vu tous les enfants âgés de 12 à 18 ans faire la file pour donner un peu de son sang. Ce processus était obligatoire, je le passai donc avec un grand sourire aux lèvres. Quand nous sommes tous placé en carré selon l’âge et le sexe, une femme qui avait des airs on peut trop fofolle à mon gout pris la parole. « Tout le monde m'entend ? Parfait ! Bienvenue, bienvenue mes amis. Aujourd'hui est un jour spécial. Après une absence prolongée des Jeux de la Faim, nous voici dans une toute nouvelle ère réclamant le sacrifice de deux enfants de chaque district une fois encore. Mais vous savez tous pourquoi, n'est-ce pas ? » Le silence se fit long, mais je voyais le sourire de plusieurs personnes s’afficher sur leurs visages. Je regardai sur l’estrade devant moi, à la recherche de mon frère. Ce ne fut pas long avant que je le trouve. Il était habiller chic lui aussi et se tenait bien droit sur sa chaise. La Capitolienne fit part dire, après le petit film où on voyait des images de personnes qui s’entretuaient : « Il est certain que ces séquences resteront à jamais gravées dans vos mémoires. Souvenez-vous des jours sombres, mes amis. Bien ! Nous allons maintenant choisir les deux candidats pour ce district. Honneur aux filles, ne perdons pas les bonnes habitudes. » Elle se dirigea vers un bocal remplit de noms féminins. J’étais toute exciter. Elle prit quelques secondes avant de choisir le nom. Elle s’écria haut et fort : « TEMPÉRENCE WOOLING » Ça me prit quelques secondes avant de réaliser que c’était ma cousine qui venait d’être piger. Je la laisse y aller ? Ou non ? J’hésitais. Je sentais mon frère me fixé. Je levai ma main et sans attendre d’avoir le droit de parler je dis : « JE ME PORTE VOLONTAIRE À SA PLACE ! » La jeune fille venu du Capitole me fit un grand sourire et me fit signe de m’approcher. Je m’exécuter sans riposter. « Alors ma belle quel est ton nom ? » Je montai sur l’estrade avec un grand sourire. « Je m’appelle Heaven Kate Wooling. » Elle me rendit mon sourire « Applaudissez HEAVEN KATE WOOLING ! » J’attendis quelques applaudissements bien discrets. Et maintenant c’était le tour du garçon. Ça se passa de la même façon. Le garçon fut piger et nous nous rendîmes dans la maison du maire, où nous avons le droit de parler pour une dernière fois à nos proches. C’est ma nièce qui entra en premier, j’étais toute contente de la voir, mais elle avait peur pour moi. Sa mère avait dût lui expliquer ce que les jeux faisait. Mais ça ne changeait pas que je voulais y aller quand même. Le rêve d’une vie quoi. Après avoir parlé avec elle pendant deux ou trois minutes elle dut partir. C’est alors comme sa mère entra. Elle me dit des mots doux et dit que si je ne revenais pas, elle allait prendre soin de Cal. Parfait me dis-je. Mon frère ne vint pas par exemple. Je le savais, car en temps qu'entraineur c’était tout à fait normal. Je m’étendis sur le lit qui était aussi confortable que le mien, voir plus. J’attendis que des gens viennent me chercher.